Journal de bord


Aujourd'hui, c'est terminé, mais elle a en souffert pendant deux à trois jours et conserve une cicatrice (voire photo). Ici, dans la cala Llonga, où nous nous sommes toujours en stand-by, il n'y a pas l'ombre d'une méduse et nous nous en réjouissons. Nous attendons, en fait, le permis de chasse sous-marine de Laurent qui chasse depuis un mois en toute illégalité... Ernesto (le frère d'Anahi, la marraine de Lucile) le lui a envoyé depuis Barcelone par courrier. Il doit arriver ces jours-ci à Eivissa chez son cousin Sylvain (cette mafia franco-argentine a des ramifications dans le monde entier !) et la cala Llonga est à deux petits virements de bord de la capitale d'Ibiza. Cette attente ne nous pose pas de problème. La cala Llonga est certes touristique mais reste sympathique. L'eau continue à flirter avec les 29 °c et nous avons profité de la douche installée sur la plage pour refaire le plein d'eau à l'aide de bidons. De quoi économiser un plein, payé au tarif fort dans le bord d'Ibiza, où passer la nuit revient à dormir dans un hôtel quatre étoiles ! Nous avons croisé un plaisancier qui, à bord d'un voilier de 11 m avait payé 220 euros pour deux nuits.
laurent
Le: 07/07/10